Dans ce portrait, le hasard a bien fait les choses et a exprimé l’essence de l’imagerie de l’artiste, son coté onirique, fantastique, expressionniste. David Lynch qui semble avoir ici 3 mains (la troisième étant en fait celle du directeur de la Fondation Cartier, Hervé Chandes), devient l’un des personnages monstrueux et humains qu’il affectionne depuis ses premiers films : Eraserhead et Elephant Man.
La photo a été prise pendant le vernissage de l’exposition célébrant le trentenaire de la Fondation Cartier, vernissage auquel j’ai eu la chance d’être invité, parce que j’avais participé il y a déjà longtemps à un projet initié par la Fondation.
François Le Diascorn

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